X était un homme, la médiocrité et les grandes souffrances.
Julien n'avait pas été brillant (ou ne le fut qu'un temps) n'était plus, je l'ai dit, qu'une ligne, qu'un coin d'affiche, le sourire (qui n'était pas raté d'ailleurs, le reste de niaiserie sut rapporter des voix) ou, pire, la main tendue, une photo, un livre d'entretiens. Il souffrait aussi. Mais, chose extraordinaire, la souffrance n'était pas liée à sa médiocrité. Il avait voulu le bien et souffrait qu'on ne le reconnût pas, et il souffrait de ne plus pouvoir faire le bien.
Marin était un médiocre mais il se distinguait du reste de ses collègues en cela que la révélation de sa médiocrité (qui est une découverte rare) ne fut pas liée à de la souffrance. Elle était le début d'une nouvelle vie. Vie étrange où passaient et défilaient gens et événements. Il en devint mauvais (s'autorisa à devenir mauvais, voire ne vit plus d'inconvénient à être mauvais), mais le calcul n'est pas la douleur.
Julien n'avait pas été brillant (ou ne le fut qu'un temps) n'était plus, je l'ai dit, qu'une ligne, qu'un coin d'affiche, le sourire (qui n'était pas raté d'ailleurs, le reste de niaiserie sut rapporter des voix) ou, pire, la main tendue, une photo, un livre d'entretiens. Il souffrait aussi. Mais, chose extraordinaire, la souffrance n'était pas liée à sa médiocrité. Il avait voulu le bien et souffrait qu'on ne le reconnût pas, et il souffrait de ne plus pouvoir faire le bien.
Marin était un médiocre mais il se distinguait du reste de ses collègues en cela que la révélation de sa médiocrité (qui est une découverte rare) ne fut pas liée à de la souffrance. Elle était le début d'une nouvelle vie. Vie étrange où passaient et défilaient gens et événements. Il en devint mauvais (s'autorisa à devenir mauvais, voire ne vit plus d'inconvénient à être mauvais), mais le calcul n'est pas la douleur.
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