Je ne sais pas dans quelle partie. Faire une scène. Celui qui ne suscitait peut-être pas le respect mais la pitié. Tout le monde reconnaît qu'il a échoué, qu'on est mieux à sa place qu'à la sienne, mais qu'il a fait de son mieux et que la situation ne pouvait se conclure que par un désastre.
La voix a des inflexions nouvelles, les yeux ont roulé. C'est à ce moment que l'on comprend, d'ordinaire, que l'homme bon, et juste, qui a sans doute échoué, qui a pourtant fait de son mieux, a quelque chose de forcé, et comme d'insincère dans le regard, dans la voix, dans les mains qui bougent rapidement, dans le port et dans la jambe qui vient toucher l'autre jambe. Les phrases se suivent, mais le ronron ne fonctionnent plus. Il y a une menace dans chaque phrase. Maintenant, le monstre peut s'éveiller et enfin révéler ses plans - nous pouvons enfin nous coucher, et prendre une aspirine. Son assurance, les doigts levés, jouant sur les doigts, la jonquille sur le bureau, le portait, le bois des meubles et des portraits nous insupportent. Il y a une conspiration dans la jonquille, le costume, la chemise froissée, vers la taille, dans la mécanique qui ne fonctionne plus, la victoire trop parfaite, quelques morts récentes, des révélations désagréables, un mensonge qui serait suivis de tant d'autres, pour quel crime, pour conserver le pouvoir, parmi les bois et le sous-main d'or et de cuir. On tuerait pour la cravate nouée et les tableaux aux murs. Un œil ne vient pas comme il devrait, et tourne. Les bras et les mains se sont vidées. Les mouvements brusques, un regard de fou sont maintenant assis au bureau, signent distraitement des papiers officiels. Sa haute taille trop enveloppée de secrets. Est-on devenu fou, présente-t-on l'autre forme de folie qu'est la lucidité ?
La voix a des inflexions nouvelles, les yeux ont roulé. C'est à ce moment que l'on comprend, d'ordinaire, que l'homme bon, et juste, qui a sans doute échoué, qui a pourtant fait de son mieux, a quelque chose de forcé, et comme d'insincère dans le regard, dans la voix, dans les mains qui bougent rapidement, dans le port et dans la jambe qui vient toucher l'autre jambe. Les phrases se suivent, mais le ronron ne fonctionnent plus. Il y a une menace dans chaque phrase. Maintenant, le monstre peut s'éveiller et enfin révéler ses plans - nous pouvons enfin nous coucher, et prendre une aspirine. Son assurance, les doigts levés, jouant sur les doigts, la jonquille sur le bureau, le portait, le bois des meubles et des portraits nous insupportent. Il y a une conspiration dans la jonquille, le costume, la chemise froissée, vers la taille, dans la mécanique qui ne fonctionne plus, la victoire trop parfaite, quelques morts récentes, des révélations désagréables, un mensonge qui serait suivis de tant d'autres, pour quel crime, pour conserver le pouvoir, parmi les bois et le sous-main d'or et de cuir. On tuerait pour la cravate nouée et les tableaux aux murs. Un œil ne vient pas comme il devrait, et tourne. Les bras et les mains se sont vidées. Les mouvements brusques, un regard de fou sont maintenant assis au bureau, signent distraitement des papiers officiels. Sa haute taille trop enveloppée de secrets. Est-on devenu fou, présente-t-on l'autre forme de folie qu'est la lucidité ?
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