Julien est devenu mon ami.
Je lui ai souvent parlé de ses discours, grands puis médiocres, de sa voix qui fléchit, une fois le paradoxe énoncé, le monde malfaisant compris, contenu, disparaissant, sa victoire et la pudeur que rien n'explique. Il songe à ses doigts nets, à son évidente bonne volonté. Il dit ne pas comprendre, il pense à la délivrance.
Je lui ai souvent parlé de ses discours, grands puis médiocres, de sa voix qui fléchit, une fois le paradoxe énoncé, le monde malfaisant compris, contenu, disparaissant, sa victoire et la pudeur que rien n'explique. Il songe à ses doigts nets, à son évidente bonne volonté. Il dit ne pas comprendre, il pense à la délivrance.
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