skip to main
|
skip to sidebar
.
lundi 27 septembre 2010
Courts portraits.
Rien ne suffisait à sa rage.
Tout au plus souffrait-il.
Les plus grandes tragédies sont dans le cœur d'une obèse.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Article plus récent
Article plus ancien
Accueil
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Titres.
*
(8)
0.
(10)
I. Délivrance
(62)
II. Crâne.
(44)
II.a. Le symptôme parle.
(21)
III. Joinville.
(18)
IV. Marin.
(14)
V. Brûlent les voitures.
(17)
X.
(1)
F.S.
Sautillant, subventionné.
Archives du blog
►
2011
(92)
►
février
(40)
►
janvier
(52)
▼
2010
(290)
►
décembre
(12)
►
novembre
(26)
►
octobre
(75)
▼
septembre
(39)
158. Accablement.
157. La Délivrance. Début 7.
156. Mélanges (propos général).
155. La Délivrance. Début 6.
154. La Délivrance. Début 5.
153. La Délivrance. Début 3.
152. La Délivrance. Début 2.
151. La Délivrance. Début 1.
Courts portraits.
150. Son père.
149. Cela.
148. Projet de fin (I).
147. Fin Crâne.
Préséance.
Publication.
146. Listes.
145. Début (II. ajout).
Pour quand il faudra écrire.
144. Crâne, première page : « Voici quelques princ...
143. Le pot à confiture.
142. Collection d'agonies.
Phrase 1. Joinville.
141. Cyniques.
140. On s'amusait beaucoup.
139. Se payer de mots.
Souffrances.
138. Chapitre III (2).
Titres.
137. Médiocre.
136. Chapitre III (1).
135. Humilité (2).
134. Humilité (1).
133. Portrait Marin.
132. Le crâne se livre.
131. Début (3).
130. Début (1).
129. Infuse et diffuse (le poison Marin).
128. Tout demeurait de l'ordre du constat / Il en ...
127. D.
►
août
(14)
►
juillet
(15)
►
juin
(17)
►
mai
(5)
►
avril
(3)
►
mars
(27)
►
février
(37)
►
janvier
(20)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire